Au cours des dernières années, l’utilisation des logiciels en libre accès à décuplé, rendant le secteur très compétitif. Ainsi, face aux défis d’indépendance, d’autonomisation et de transformation numérique des entreprises engendrées par la crise sanitaire du coronavirus, une pléthore de PME se positionne dans le secteur du logiciel libre, spécifiquement sur les pôles très techniques. Le détail dans cet article.
Qu’est-ce que le logiciel libre et ses implications ?
On parle de logiciel « libre », « ou open source », lorsque l’éditeur du système laisse à la possibilité à d’autres personnes d’utiliser, de modifier et de dupliquer l’application. En terme clair, les développeurs ne cèdent pas le logiciel, mais son usage. Ce mode de partage de services de logiciels était utilisé par les « geeks », et s’est répandu dans les habitudes de la vie courante des entreprises en voie de développement. L’utilisation des logiciels open source s’est développée grâce au système d’exploitation Linux, présents sur les serveurs des entreprises et les installations de télécoms et le cloud.
Le nouveau pôle d’investissement de la France
L’essor connu dans le secteur du logiciel en accès libre est dû aux opportunités que les entreprises, principalement les groupes ont découvert. D’abord, il permet de réduire les coûts de développement de nouveaux logiciels et l’indépendance technologique à l’égard des développeurs, et la possibilité d’adapter les logiciels aux besoins, ce qui favorise l’attraction des jeunes talents. C’est un nouveau secteur d’investissement pour la France, car l’évolution du numérique, dans le contexte de la pandémie, les logiciels open source sont très consommés. En France le secteur du logiciel libre est très dynamique. Il pèse actuellement 6 milliards d’euros et offre 60 000 emplois principalement dans les PME. Cette année le secteur devrait augmenter jusqu’à 8 % de croissance. Les autorités françaises ont annoncé leurs réformes dans le domaine pour l’avenir.