Quand la masculinité échoue : comment traiter la dysfonction érectile ?

L'incapacité à avoir ou à garder une érection touche environ 5 millions d'hommes en France. Cependant, seulement 15 pour cent d'entre eux demandent l'aide d'un spécialiste. Pendant ce temps, de tels problèmes peuvent être le symptôme de nombreuses maladies qui doivent être traitées. La médecine moderne traite efficacement la dysfonction érectile et ceci est important pour maintenir de bonnes relations dans une relation. La recherche prouve que l'activité sexuelle réduit le risque de cancer de la prostate.

L'érection comme mesure de la santé

La cause la plus fréquente de dysfonction érectile dans la tranche d'âge des adolescents et des jeunes hommes sont les problèmes psychologiques, en grande partie liés aux complexes, au manque d'expérience ou à la peur d'une grossesse non désirée d'un partenaire. Chez les hommes d'âge moyen, les principaux facteurs sont le stress, le surmenage, ainsi que les problèmes dans les relations personnelles.

Elles peuvent également être causées par l'athérosclérose, le diabète ou l'hypertension artérielle et pour plus de détails, visitez le site web. Dans environ 50 pour cent hommes de plus de 40 ans, la dysfonction érectile est associée à des troubles cardiovasculaires. Par conséquent, les problèmes d'érection ne doivent pas être traités comme une maladie, mais comme un symptôme.

Traitement au besoin

Plusieurs médicaments pour la dysfonction érectile sont disponibles en France, qui répondent aux différents besoins des hommes. Certains sont pris immédiatement avant les rapports sexuels. Il y a aussi ceux qui vous permettent de l'avoir dans les 36 heures suivant la prise du médicament. Une autre méthode de traitement est la soi-disant onde de choc (LSWT : thérapie par ondes de choc linéaires). Elle provoque la production de facteurs qui initient, entre autres, le développement de nouveaux vaisseaux sanguins dans le pénis et la procédure doit être répétée au moins quatre fois. C'est une méthode non invasive, apportant des résultats positifs dans environ 70 pour cent patients. Une autre thérapie possible consiste en des injections dans le corps caverneux, qui sont administrées dans le pénis immédiatement avant le rapport sexuel.